Jiang et Han

Sur le Jiang et la Han, l'exilé rêve du retour
- Un lettré démuni perdu au cœur de l'univers

Frêle nuage : toujours plus loin, en compagnie du ciel
Longue nuit : toujours plus seul aux côtés de la lune

Face au soleil couchant, un cœur qui brûle encore
Dans le vent automnal, d'anciens maux presque guéris

Au temps jadis, on ne tuait pas le vieux cheval :
Il avait d'autres dons que de parcourit les routes !

江汉  杜甫

江汉思归客, 乾坤一腐儒。
片云天共远, 永夜月同孤。 
落日心犹壮, 秋风病欲苏。 
古来存老马, 不必取长途。

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