Edition du 23/09/2009 22:00

Alexis Fricker
Merci d'écouter RFI, il est 22 heures à Paris, 20 heures en temps universel.

Bienvenue si vous nous rejoignez dans cette nouvelle édition du journal en français facile, présenté ce soir avec Juliette Rengeval.

Bonsoir Juliette.

Juliette Rengeval
Bonsoir.

À la une de l'actualité ce soir, l'Assemblée générale de l'ONU, cent quatre-vingt-douze chefs d'État sont réunis à New York. Barack Obama a dit qu'il faut affronter les grands défis ensemble, dans l'unité. Le chef de l'État libyen, le colonel Kadhafi, est monté à la tribune pour qualifier le conseil de sécurité des nations unies de « conseil de la terreur », et Nicolas Sarkozy a demandé un élargissement du conseil de sécurité de l'ONU.

AF
Au Honduras, Manuel Zelaya et Roberto Michéletti se disent prêts à dialoguer. Mais quelles sont les conditions de ce dialogue ? C'est la question que se posent les proches de Manuel Zelaya, qui avait été renversé il y a trois mois.

JR
La crise du lait continue en Europe. Les producteurs réclament des règles pour empêcher une trop grande baisse des prix du lait. C'est ce que demandent vingt pays européens, dont la France, l'Allemagne et l'Italie.

JR
Plusieurs chefs d'état se sont exprimés à la tribune de l'ONU à New York aujourd'hui.

AF
Parmi eux, il y avait le président américain. Barack Obama a parlé de l'ouverture d'une nouvelle ère de coopération internationale. Il a demandé aux autres pays de faire face ensemble aux grands défis mondiaux : le changement climatique, la pauvreté et la prolifération nucléaire.

La tribune de l'ONU a aussi accueilli, pour la première fois, le président libyen Mouammar Kadhafi. Son discours a duré une heure et demi. Le colonel Kadhafi en a profité pour critiquer fortement l'ONU. Il a qualifié le conseil de sécurité de « conseil de la terreur ».

Et puis Nicolas Sarkozy a demandé une réforme de l'ONU et un élargissement du conseil de sécurité avant la fin de l'année. Véronique Rigolet est l'une des envoyées spéciales de RFI à New York.
AF
Et ce soir, donc, Nicolas Sarkozy a refusé la proposition de Mahmoud Ahmadinejad d'échanger des prisonniers iraniens contre Clotilde Reiss. Parmi ces prisonniers iraniens détenus en France, il y a l'assassin de l'ancien premier ministre iranien Chapour Bakhtiar. Clotilde Reiss est toujours en Iran, pour le moment. Elle ne pourra pas sortir de l'ambassade de France à Téhéran tant qu'elle ne connaitra pas son jugement. Cette jeune française est accusée d'espionnage par la justice iranienne.

Le chef de l'État français parle d'un chantage de la part de l'Iran.

JR
À propos de l'Iran, le dossier du programme nucléaire a été abordé à New York et les chefs d'état ont réaffirmé leur fermeté.

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