江城子 苏轼

十年生死两茫茫。
不思量,自难忘。
千里孤坟,无处话凄凉。
纵使相逢应不识,
尘满面,鬓如霜。

夜来幽梦忽还乡。
小轩窗,正梳妆。
相顾无言,惟有泪千行。
料得年年断肠处,
明月夜,短松冈。

译诗:

En pensant à sa femme morte
De plus en plus loin
dix ans nous séparent.
Une morte. Un vivant encore.
Même si j’essaie
Je ne peux pas l’oublier.
Sa tombe est solitaire
à des milliers de li.
Où pourrais-je la retrouver
et lui dire que je suis seul ?
Elle ne me reconnaîtrait pas
si nous nous retrouvions :
gelée blanche sur mes cheveux
et poussière sur mon visage.

Ce soir, revenant à la maison
dans un rêve de mélancolie
je l’ai vue, brossant ses cheveux
au clair de la petite fenêtre.
Nous nous sommes regardés sans rien dire.
Les larmes coulaient sur nos joues.
Je sais l’endroit
où chaque année mon coeur se brise.
C’est le sommet d’un pin
par une nuit de lune.

声明:沪江网高度重视知识产权保护,发现本网站发布的信息包含有侵犯其著作权的链接内容时,请联系我们,我们将做相应处理。